In den Kasernen, da warten sie.
In den Kasernen, da schult man sie.
So war es immer, und endet nie.
In den Kasernen, da warten sie.
Dans les casernes, on les a mis
Dans les écoles de la patrie
Toujours pareil, à l'infini
Dans les casernes on les a mis.
Von schönen Mädchen, da träumen sie
Die schönen Mädchen verlassen sie
So ist es immer, und endet nie.
Von schönen Mädchen, da träumen sie.
Il rêvaient de filles jolies
Eux que personne ne marie
Toujours pareil à l'infini
Ils rêvaient de filles jolies.
Kommt man sie holen, dann gehen sie.
Ob sie auch wollen, das fragt man nie.
So war es immer, das wissen sie.
Kommt man sie holen, dann gehen sie.
On les a pris, ils sont partis.
Bon gré mal gré, qui s'en soucie?
On procède toujours ainsi :
On les a pris, ils sont partis.
Auf Menschen Brüder, da schießen sie.
Und Menschen Brüder befehlen sie.
So war 's schon immer, und endet nie
Auf Menschen Brüder, da schießen sie.
Ils ont tiré sur leur fratrie,
Sous les ordres de l'ennemi.
Comme ce fut toujours admis,
Ils ont tiré sur leur fratrie.
Kreuz unter Kreuzen, so enden sie.
Kreuz unter Kreuzen, wer denkt an sie.
So war es immer, begreift man nie.
Kreuz unter Kreuzen, so enden sie.
Croix après croix ils ont fini.
Qui pense à eux couchés ici?
Comme on leur a toujours appris
Croix après croix, ils ont fini.
In den Kasernen, da warten sie.
Neue Kasernen, baut man für sie
Es ist wie immer, und endet nie.
In den Kasernen, da warten sie.
Dans les casernes, on les a mis,
Des camps tout neufs pour eux construits
Tout recommence à l'infini.
Dans les casernes on les a mis.
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