Samuel Steward a conservé jusqu'à la fin les dessins d'Etienne figurant dans sa collection personnelle. Ces quelques dessins sont en général d'une grande qualité et correspondent pour certains à des motifs inconnus; ils ne sont pas signés, preuve sans doute qu'ils lui ont été donnés.
Tattoo parlor, probable dessin d'Etienne
Dans son journal, lors de leur première rencontre- Dom Orejudos et son partenaire sont amenés par Burckhardt, le rédacteur de Der Kreis, dans l'échoppe de tatouage de Steward pour le voir travailler - Steward décrit Etienne comme “the small sissy Italian [sic] who draws the sexy men” 'la petite folle italienne qui dessine des beaux mecs"). Il notent qu'ils sont très silencieux et effacés...
Etienne
Attribués à Samuel Steward
sans doute d'après ce dessin d'Etienne, au moment où Steward cherchait une couverture pour ce qui allait devenir The Boys in Blue?
Les premiers dessins, assez rudimentaires d'Etienne, sans doute vers 1950, qu'il retravaillera plus tard pour Night Patrol (Cop-rape) présentent déjà cette thématique: La comparaison rappelle les premiers essais d'Hergé par rapport aux versions finales des albums des albums aboutis, sauf qu'ici, le dessin n'est pas retouché par d'autres.
Night patrol (extraits)
Scène de théâtre
qui n'est pas sans rappeler le tableau des boxeurs
Scène de prison, dont la version de détail atténue le caractère fétichiste (les marques sur les fesses du flic sont presque uniques dans l'oeuvre d'Etienne)
à rapprocher de la série Captivity, elle-même dérivant des fresques murales pour le sous-sol du Golden Coast.
Autres dessins de la collection de Steward évoquant des rapports maître-esclave
Tentative d'illustration pour The Barn?
étude partielle d'un dessin peu connu
Les scènes domestiques sont rares chez Etienne:
Vaisselle cassée
Sig Ulmanis dans la même tenue (ou presque) photographié sans la cuisine d'Etienne
Deux autres dessins de la collection Steward
anonyme
Gianni
On peut penser que la plupart des dessins d'Etienne ont été collectés entre 1958 et 1960, période faste des relations de Steward avec Etienne.
Tattoo parlor, probable dessin d'Etienne
Dans son journal, lors de leur première rencontre- Dom Orejudos et son partenaire sont amenés par Burckhardt, le rédacteur de Der Kreis, dans l'échoppe de tatouage de Steward pour le voir travailler - Steward décrit Etienne comme “the small sissy Italian [sic] who draws the sexy men” 'la petite folle italienne qui dessine des beaux mecs"). Il notent qu'ils sont très silencieux et effacés...
Etienne
Attribués à Samuel Steward
sans doute d'après ce dessin d'Etienne, au moment où Steward cherchait une couverture pour ce qui allait devenir The Boys in Blue?
Les premiers dessins, assez rudimentaires d'Etienne, sans doute vers 1950, qu'il retravaillera plus tard pour Night Patrol (Cop-rape) présentent déjà cette thématique: La comparaison rappelle les premiers essais d'Hergé par rapport aux versions finales des albums des albums aboutis, sauf qu'ici, le dessin n'est pas retouché par d'autres.
Night patrol (extraits)
Scène de théâtre
qui n'est pas sans rappeler le tableau des boxeurs
Scène de prison, dont la version de détail atténue le caractère fétichiste (les marques sur les fesses du flic sont presque uniques dans l'oeuvre d'Etienne)
à rapprocher de la série Captivity, elle-même dérivant des fresques murales pour le sous-sol du Golden Coast.
Autres dessins de la collection de Steward évoquant des rapports maître-esclave
Tentative d'illustration pour The Barn?
étude partielle d'un dessin peu connu
Les scènes domestiques sont rares chez Etienne:
Vaisselle cassée
Sig Ulmanis dans la même tenue (ou presque) photographié sans la cuisine d'Etienne
Deux autres dessins de la collection Steward
anonyme
Gianni
On peut penser que la plupart des dessins d'Etienne ont été collectés entre 1958 et 1960, période faste des relations de Steward avec Etienne.
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